Un consortium franco-germano-suisse soutenu par le fonds européen FEDER prépare des revêtements d’implants et des nano-objets de diagnostic « intelligents » grâce aux dendrimères. Avec des laboratoires alsaciens spécialistes des matériaux « multi-fonctions » et des partenaires allemands et suisses pour en analyser les usages médicaux puis en faire les essais cliniques, le bassin du Rhin Supérieur avait tous les atouts pour mettre sur pieds un projet tri-national. C’est chose faite, grâce au programme européen INTERREG V Rhin Supérieur dont un des objectifs vise à « augmenter le nombre d’applications et d’innovations développées par des consortiums transfrontaliers du Rhin supérieur ». La Confédération suisse et les cantons d’Argovie, Bâle-Campagne et Bâle-Ville soutiennent également le projet. Lancé en novembre 2016, le projet NANOTRANSMED, porté par le CNRS, rassemble 8 laboratoires partenaires, secondés par la start-up bâloise Cellec Biotek et son réacteur de test sur des cellules en 3D qui permet des tests in vitro suffisamment proche du in vivo pour éviter certains tests sur modèles animaux. Le projet dispose de 4,5 millions d’euros pour développer en 3 ans, des revêtements « intelligents » pour les implants […]

Accès restreint

Vous devez être abonné(e) et connecté(e) pour lire la suite

Déjà abonné(e) ? Identifiez-vous

S'abonner Acheter 4.99 €