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Communiqué de presse
Des analyses complémentaires de ENHERTU® chez des patients atteints d’un cancer du sein métastatique HER2-positif renforcent les données d’efficacité communiquées précédemment
Les données de l’étude DESTINY-Breast03 présentées au congrès SABCS 2021 ont montré que le bénéfice observé de ENHERTU (Daiichi Sankyo et AstraZeneca) est similaire dans les sous-groupes de patients.
Tokyo, Munich et Basking Ridge, NJ – (le 9 décembre 2021) – De nouveaux résultats de l’étude
DESTINY-Breast03 de phase 3 ont été communiqués, ENHERTU® (trastuzumab déruxtécan, T-DXd) a
démontré une survie sans progression (SSP) plus élevée et un taux de réponse objective (TRO) chez les sous-groupes de patients pré-spécifiés en comparaison avec trastuzumab emtansine (T-DM1) chez les patients atteints d’un cancer du sein HER2-positif non résécable et/ou métastatique précédemment traité par trastuzumab et un taxane. ENHERTU est un anticorps conjugué (ADC) dirigé contre HER2, développé conjointement par Daiichi Sankyo Company, Limited (nommé ensuite Daiichi Sankyo) et AstraZeneca (LSE/STO/Nasdaq : AZN). Les résultats ont été présentés lors d’une communication orale (Abstract#GS3- 01), à l’occasion du congrès sur le cancer du sein de San Antonio (#SABCS21) 2021.
Un bénéfice similaire de SSP et TRO a été observé dans les analyses exploratoires chez les patients définis par la présence de métastases cérébrales stables, le statut des récepteurs hormonaux, le nombre de lignes de traitements antérieures, le traitement antérieur par pertuzumab ou le statut des métastases viscérales. Chez les patients présentant des métastases cérébrales stables à l’inclusion dans l’étude, le traitement par T-DXd a permis d’obtenir une SSP plus longue que celle obtenue avec le T-DM1 (n=82 ; SSP par un examen central indépendant en aveugle [ECIS], rapport de risque [RR] = 0,25 ; IC à 95 % : 0,13-0,45). De plus, dans ce sous-groupe, au moment du gel des données le 21 mai 2021, T-DXd a amélioré la SSP avec une médiane de 15,0 mois (IC à 95 % : 12,5-22,2) contre 3,0 mois pour le T-DM1 (IC à 95 % : 2,8-5,8). Dans l’analyse principale des données récemment présentées à la conférence virtuelle 2021 de la Société européenne d’oncologie médicale (ESMO), T-DXd a démontré une réduction de 72 % du risque de progression de la maladie ou de décès par rapport au T-DM1 (rapport de risque [RR] = 0,28 ; 95 % IC : 0,22-0,37 ; p=7,8×10-22). 2
« Les principaux objectifs du traitement du cancer du sein métastatique HER2 positif, y compris pour les patients qui présentent des métastases cérébrales stables, sont d’améliorer les symptômes, de stabiliser ou de réduire la taille de la tumeur et d’améliorer la survie globale », a déclaré Sara Hurvitz, MD, Médecin Oncologue, Professeur de Médecine, et directeur du programme d’essais cliniques sur le cancer du sein de la division d’hématologie-oncologie de la David Geffen School of Medicine de UCLA et directeur médical de l’unité de recherche clinique de la UCLA Jonsson Comprehensive Cancer Center à Santa Monica, Californie.
« La survie sans progression plus élevée observée dans DESTINY-Breast03 dans le sous-groupe de patients présentant des métastases cérébrales stables au départ dans cette étude est encourageante et est un véritable espoir pour les patients qui ont connu une progression de la maladie avec les traitements actuellement disponibles. »
Le TRO confirmé pour les patients présentant des métastases cérébrales stables au départ (n=82) était de 67,4% (n=29 ; IC à 95 % : 51,5-80,9) dans le bras T-DXd, contre 20,5 % (n=8 ; IC à 95 % : 9,3-36,5) dans le bras T-DM1. Il y a eu deux réponses confirmées (RC) (4,7 %) et 27 réponses partielles (RP) (62,8 %) chez les patients présentant des métastases cérébrales stables et traités par T-DXd, contre zéro RC et huit RP (20,5%) chez ceux traités par T-DM1. Au moment du gel des données, un patient (2,3 %) atteint de métastases cérébrales et traité par T-DXd présentait une progression de la maladie (MP) contre sept (17,9 %) patients traités par T-DM1. Une évaluation rétrospective non spécifiée de la réponse intracrânienne, évaluée par le comité de revue indépendant ECIS, chez 72 patients présentant des métastases cérébrales stables a montré que le traitement par T-DXd a entraîné 10 RC (27,8 %) et 13 RP (36,1 %), contre un RC (2,8 %) et 11 RP (30,6 %) chez les patients traités par T-DM1, fournissant ainsi des preuves préliminaires que le traitement par T-DXd est associé à une réponse tumorale intracrânienne et à une réduction de la maladie au niveau du système nerveux central.
Le profil de tolérance des événements indésirables les plus courants avec T-DXd dans l’étude DESTINY-Breast03 reste cohérent à celui observé dans les essais cliniques précédents de T-DXd dans le cancer du sein, sans qu’aucun nouveau problème de tolérance ne soit identifié. Les effets indésirables les plus fréquents, de grade 3 ou plus, liés au traitement ont été les suivants : neutropénie (19,1 %), thrombocytopénie (7,0 %), nausées (6,6 %), leucopénie (6,6 %), anémie (5,8 %), fatigue (5,1 %), vomissements (1,6 %), augmentation des ALT (1,6 %), diminution de l’appétit (1,2 %), augmentation des AST (0,8 %), diarrhée (0,4 %) et alopécie (0,4 %). Dans l’ensemble, 10,5 % des patients ont présenté une pneumopathie interstitielle diffuse ou une pneumopathie inflammatoire liée au traitement, comme l’a déterminé un comité de revue indépendant.
La majorité des cas de pneumopathie interstitielle diffuse (9,7 %) étaient principalement de faible grade
(grade 1 (2,7 %) ou grade 2 (7,0 %)), deux cas de grade 3 (0,8 %) ayant été signalés. Aucun événement de
grade 4 ou 5 n’a été signalé.
« Ces analyses supplémentaires de DESTINY-Breast03 continuent de démontrer les bénéfices du traitement T-DXd. Comparé au sous-groupe de patients traités par T-DM1, T-DXd démontre, y compris par une survie sans progression de 15 mois chez les patients présentant des métastases cérébrales stables, un potentiel à devenir le nouveau traitement de référence chez les patients atteints d’un cancer du sein métastatique HER2 positif précédemment traité », a déclaré Ken Takeshita, MD, responsable mondial de la R&D chez Daiichi Sankyo. « Ces données soutiendront nos discussions en cours avec les autorités sanitaires mondiales pour réaliser notre engagement à mettre T-DXd à la disposition des patients atteints d’un cancer du sein HER2 positif précédemment traité, plus tôt dans le cadre d’un traitement métastatique. »
« D’autres options thérapeutiques sont nécessaires pour retarder la progression et prolonger la survie des patients atteints d’un cancer du sein métastatique HER2 positif qui développent des métastases cérébrales », a souligné Susan Galbraith, MBBChir, PhD, vice-présidente exécutive, R&D en oncologie, AstraZeneca. « Ces analyses supplémentaires de DESTINY-Breast03 renforcent le potentiel de T-DXd en démontrant des bénéfices similaires dans les différents sous-groupes. »
Tous les patients de DESTINY-Breast03 ont reçu au moins un traitement anticancéreux antérieur, y compris le trastuzumab (T-DXd = 99,6 % ; T-DM1 = 99,6 %), ou le pertuzumab (T-DXd = 62,1 % ; T-DM1 =60,1 %). Cinquante pour cent des patients du bras T-DXd avaient déjà reçu une ligne de traitement. A l’entrée dans l’essai, 16,5 % des patients du bras T-DXd et 14,8 % des patients du bras T-DM1 présentaient un antécédent de métastases cérébrales. Au moment du gel des données, le 21 mai 2021, 136 patients étaient encore sous traitement par T-DXd et 49 patients sous T-DM1.
Sur la base des résultats primaires de DESTINY-Breast03, ENHERTU a reçu sa quatrième désignation
« Breakthrough Therapy Designation » (BTD) aux Etats-Unis pour le traitement des patients adultes atteints d’un cancer du sein HER2 positif non résécable et/ou métastatique qui ont reçu un ou plusieurs traitements antérieurs anti-HER2.
À propos de DESTINY-Breast03
DESTINY-Breast03 est une étude pivot comparative directe de phase 3 internationale, randomisée, ouverte, évaluant la tolérance et l’efficacité du traitement ENHERTU (5,4 mg/kg) par rapport au T-DM1 chez les patients atteints d’un cancer du sein HER2 positif non résécable et/ou métastatique précédemment traité par trastuzumab et un taxane. Le principal critère d’évaluation de l’efficacité de DESTINY-Breast03 est la SSP selon le CRI. Les critères d’évaluation secondaires de l’efficacité comprennent la survie globale, le TRO, la durée de la réponse, la SSP selon l’évaluation de l’investigateur, et la tolérance. DESTINY-Breast03 a recruté 524 patients sur plusieurs sites en Asie, en Europe, en Amérique du Nord, en Océanie et en Amérique du Sud. Pour plus d’informations sur l’essai, visitez ClinicalTrials.gov.
À propos du cancer du sein HER2 positif
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent et l’une des principales causes de décès liés au cancer dans le monde.1 Plus de deux millions de cas de cancer du sein ont été diagnostiqués en 2020, entraînant près de 685 000 décès dans le monde1
. Environ un cas sur cinq de cancer du sein est considéré comme HER2 positif.2
HER2 est une protéine tyrosine kinase réceptrice de croissance exprimée à la surface de nombreux types de tumeurs, notamment les cancers du sein, de l’estomac, du poumon et colorectal.3 La surexpression de la protéine HER2 peut résulter de l’amplification du gène HER2 et est souvent associée à une maladie agressive et à un mauvais pronostic dans le cancer du sein.4
Malgré un traitement initial par trastuzumab et un taxane, les patients atteints d’un cancer du sein
métastatique HER2 positif voient souvent leur maladie progresser.5 De plus, on estime que 30 à 50 % des patients développeront des métastases cérébrales et, bien que la disponibilité accrue des thérapies HER2 ait amélioré le contrôle de la maladie systémique, le pronostic après le développement de métastases cérébrales reste défavorable 5,6,7,8,9
. Plus d’options thérapeutiques sont nécessaires afin de ralentir la progression et
d’augmenter la survie.5,6,7,8
À propos de ENHERTU
ENHERTU® (trastuzumab déruxtécan ; fam-trastuzumab deruxtecan-nxki aux États-Unis seulement) est un ADC dirigé contre HER2. Conçu à l’aide de la technologie ADC DXd exclusive de Daiichi Sankyo,
ENHERTU est le principal ADC du portefeuille oncologique de Daiichi Sankyo et le programme le plus
avancé de la plateforme scientifique ADC d’AstraZeneca. ENHERTU est constitué d’un anticorps
monoclonal HER2 lié à une charge utile inhibitrice de la topoisomérase I, un dérivé de l’exatécan, via une
liaison clivable stable à base de tétrapeptide.
Les données de l’étude Destiny-Breast 03 présentées ci-dessus n’ont pas encore fait l’objet d’une évaluation par les autorités européennes.
1 Sung H, et al. CA Cancer J Clin. 2021;10.3322/caac.21660.
2 Ahn S, et al. J Pathol Transl Med. 2020;54(1): 34–44.
3 Iqbal N, et al. Mol Biol Int. 2014;852748.
4 Pillai R, et al. Cancer. 2017;1;123(21):4099-4105.
5 Barok M, et al. Breast Cancer Res. 2014; 16(2):209.
6 Mounsey L, et al. Clin Breast Cancer. 2018;18(1):29-37.
7 Martínez-Sáez O, Prat A. JCO Oncol Pract. 2021. 10.1200/OP.21.00172.
8 Verma S, et al. N Engl J Med. 2012;367:1783-1791.
9 Garcia-Alvarez, A et al. Cancers. 2021; 13(12):2927.
A ce jour, l’indication approuvée par l’EMA (dans son Autorisation de Mise sur le Marché (AMM)
conditionnelle en date du 18 janvier 2021) pour la spécialité ENHERTU est la suivante : « ENHERTU en
monothérapie est indiqué dans le traitement des patients adultes présentant un cancer du sein HER2 positif non résécable ou métastatique ayant reçu préalablement au moins deux lignes de traitement anti-HER2. »
Sa place dans la stratégie thérapeutique définie par la Haute Autorité de Santé dans son Avis conditionnel de la Commission de la Transparence du 16 juin 2021 est la suivante :
« ENHERTU (trastuzumab déruxtécan) est une option de traitement en 3ème ligne après échec au
trastuzumab/ pertuzumab associé à un taxane puis au trastuzumab emtansine. En l’absence de donnée
comparative, sa place vis-à-vis des alternatives disponibles reste à préciser. A noter que l’étude de phase II non comparative l’ayant évalué n’a inclus que des patientes en bon état général et que les métastases
cérébrales actives faisaient parties des critères de non-inclusion. La Commission rappelle qu’à cette même ligne de traitement, il existe une alternative de meilleur niveau de preuve représentée par le tucatinib [TUKYSA] (AMM obtenue le 11/02/2021). »
ENHERTU (5,4 mg/kg) est approuvé dans plus de 30 pays pour le traitement des patients adultes atteints d’un cancer du sein HER2 positif non résécable ou métastatique qui ont reçu au moins deux traitements antérieurs à base d’anti-HER2, selon les résultats de l’essai clinique DESTINY-Breast01.
ENHERTU (6,4 mg/kg) est également approuvé dans plusieurs pays pour le traitement des patients adultes atteints d’un adénocarcinome gastrique ou de la jonction gastro-œsophagienne (JGO) HER2 positif, localement avancé ou métastatique, qui ont reçu un traitement antérieur à base de trastuzumab, sur la base des résultats de l’essai clinique DESTINY-Gastric01.
Une variation de Type II est actuellement en cours d’examen par l’Agence européenne des médicaments pour le traitement des patients adultes atteints d’un adénocarcinome gastrique ou JGO HER2 positif, localement avancé ou métastatique, ayant reçu un traitement antérieur à base d’anti-HER2.
À propos du programme de développement clinique de ENHERTU
Un programme de développement mondial complet est en cours pour évaluer l’efficacité et la tolérance
d’ENHERTU en monothérapie dans plusieurs cancers ciblés par HER2, notamment les cancers du sein, de l’estomac, du poumon et du côlon. Des essais en combinaison avec d’autres traitements anticancéreux, comme l’immunothérapie, sont également en cours.
ENHERTU a été présenté dans le rapport Clinical Cancer Advances 2021 comme l’une des deux avancées
significatives dans « Avancée clinique de l’année de l’ASCO : le profilage moléculaire, moteur du progrès
dans les cancers gastro-intestinaux », basé sur les données des essais DESTINY-Gastric01 et DESTINY-CRC01 ainsi que l’une des avancées de l’année en matière de thérapie ciblée dans le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC), d’après les résultats provisoires de la cohorte HER2 muté de l’essai DESTINY-Lung01.
En mai 2020, ENHERTU a reçu la désignation BTD aux États-Unis pour le traitement des patients atteints de CPNPC métastatique dont les tumeurs présentent une mutation HER2 et dont la maladie a progressé pendant ou après un traitement à base de platine.
À propos de la collaboration entre Daiichi Sankyo et AstraZeneca
Daiichi Sankyo et AstraZeneca ont conclu une collaboration mondiale pour développer et commercialiser
conjointement ENHERTU en mars 2019 et le datopotamab déruxtécan (Dato-DXd) en juillet 2020, sauf au Japon où Daiichi Sankyo conserve des droits exclusifs pour chaque ADC. Daiichi Sankyo est responsable de la production et de la distribution de ENHERTU et du datopotamab déruxtécan.
À propos de Daiichi Sankyo en oncologie
Le portefeuille d’oncologie de Daiichi Sankyo est alimenté par notre équipe de scientifiques de renommée mondiale qui vont au-delà des standards de pensée traditionnels pour développer des médicaments transformateurs pour les personnes atteintes de cancer. Ancrés dans notre technologie DXd ADC, nos moteurs de recherche comprennent des laboratoires de biologie, de chimie médicinale, et d’autres laboratoires de recherche au Japon et Plexxikon Inc., notre centre de R&D sur les petites molécules à structure guidée aux États-Unis. Nous travaillons également avec des collaborateurs universitaires et commerciaux de premier plan pour faire progresser la compréhension du cancer. Daiichi Sankyo se rapproche de son objectif ambitieux de devenir un leader mondial en oncologie d’ici 2025.
À propos de Daiichi Sankyo
Daiichi Sankyo se consacre à la création de nouvelles modalités et de médicaments novateurs en tirant parti
de sa science et de sa technologie de classe mondiale dans le but de « contribuer à l’enrichissement de la
qualité de vie dans le monde entier. » En plus de son portefeuille actuel de médicaments contre le cancer et
les maladies cardiovasculaires, Daiichi Sankyo se consacre principalement au développement de nouvelles
thérapies pour les personnes atteintes de cancers ainsi que pour d’autres maladies dont les besoins médicaux
diversifiés et ne sont pas satisfaits. Avec plus de 100 ans d’expertise scientifique et une présence dans plus de
20 pays, Daiichi Sankyo et ses 16 000 employés dans le monde s’appuient sur un riche héritage d’innovation
pour réaliser notre vision 2030, à savoir devenir une « entreprise mondiale de soins de santé innovante
contribuant au développement durable de la société.» Pour plus d’informations, veuillez consulter le
site : www.daiichi-sankyo.fr ou www.daiichisankyo.com
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À propos d’AstraZeneca en oncologie
AstraZeneca mène une révolution en oncologie avec l’ambition de proposer des traitements contre tous les types de cancer, en nous fondant sur la science pour comprendre le cancer dans toutes ses complexités afin de découvrir, développer et proposer aux patients des médicaments qui peuvent transformer leur vie.
Nous mettons l’accent sur certains des cancers les plus difficiles à traiter. C’est grâce à une
innovation constante qu’AstraZeneca a bâti l’un des portefeuilles et pipelines les plus diversifiés de
l’industrie pharmaceutique, pouvant potentiellement catalyser les changements dans la pratique de la
médecine et transformer l’expérience des patients.
AstraZeneca a l’ambition de contribuer à redéfinir le traitement du cancer et à éliminer, un jour, le cancer comme cause de décès.
À propos d’AstraZeneca
AstraZeneca (LSE/STO/NYSE: AZN) est une entreprise biopharmaceutique internationale guidée par la
science qui se concentre sur la recherche, le développement et la commercialisation de médicaments de
prescription, principalement dans trois domaines : oncologie ; maladies cardiovasculaires, rénales et
métaboliques ; maladies respiratoires et immunologie. Basé à Cambridge au Royaume-Uni, AstraZeneca est présent dans plus de 100 pays et ses médicaments innovants sont utilisés par des millions de patients à travers le monde. Veuillez consulter astrazeneca.fr et suivre l’entreprise sur Twitter @AstraZenecaFR