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Communiqué de presse

Symrise poursuit a corissance dans un contexte de marché difficile

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Le groupe Symrise reste sur la voie de la croissance pour l’année fiscale 2020. Au premier trimestre, les ventes ont augmenté de 8,0 % pour atteindre 917,1 millions d’euros (T1 2019 : 848,8 millions d’euros). Tous les segments ont contribué à cette évolution positive et ont enregistré des gains malgré la conjoncture économique mondiale difficile liée au Covid-19. En termes organiques, les ventes ont augmenté de 2,3 % comparé à ceux du même trimestre de l’année 2019.

« La pandémie Covid-19 s’avère être un test difficile pour l’économie mondiale. Symrise a mis en place des mesures sur tous ses sites afin d’offrir à ses employés et partenaires une protection optimale contre le virus. Nous continuons à être pleinement opérationnels et faisons tout notre possible pour fournir à nos clients la fiabilité à laquelle ils sont habitués. Dans ce contexte, la flexibilité et l’énorme engagement de nos employés jouent un rôle décisif. Cette crise souligne une fois de plus la résilience et l’équilibre de notre modèle d’entreprise. Avec notre large gamme de solutions de produits pour les aliments et les boissons, les soins personnels et l’hygiène, nous répondons particulièrement en ces temps de crise aux besoins de la vie quotidienne. En outre, nous faisons preuve de responsabilité sociale en utilisant nos compétences et ressources technologiques pour produire de grandes quantités de désinfectants et les livrer gratuitement aux municipalités pour qu’elles les utilisent dans les institutions publiques » déclare le Dr Heinz-Jürgen Bertram, PDG de Symrise.
Le segment Scent & Care, spécialisé dans les parfums et les soins personnels, a réalisé un chiffre d’affaires total de 368,4 millions d’euros. En monnaie de présentation, cela représente une légère augmentation par rapport au solide trimestre de l’année précédente
(T1 2019 : 367,3 millions d’euros). Sur une base organique, le segment a augmenté ses ventes de 1,2 %.

Scent & Care avec une forte demande de produits de parfumerie et de menthol
La division Parfumerie a enregistré une augmentation significative de ses ventes, avec une demande particulièrement forte dans les régions EAME et Amérique latine. Les domaines d’application Parfumerie fine, Parfumerie de consommation et Soins buccaux ont continué à réaliser une bonne croissance durable.

Au sein de la division Aroma Molecules, les ventes ont été légèrement inférieures au niveau élevé de l’année précédente, principalement en raison d’une demande plus faible pour les parfums. L’année précédente, le domaine d’application avait bénéficié de la flambée des prix des matières premières, alimentée par la pénurie de matières premières. Au cours des trois premiers mois de l’exercice 2020, les ventes ont été dopées par les applications du menthol, en particulier dans les régions d’Amérique du Nord et d’Amérique latine.
Les ventes de la division «Ingrédients cosmétiques» ont connu une évolution modérée par rapport à l’année précédente, notamment dans les régions d’Amérique du Nord et d’Asie/ Pacifique. Cela reflète à la fois les chiffres élevés de la comparaison et une demande momentanément réduite de produits de protection contre les UV.
En outre, les ventes en Chine ont été temporairement inférieures aux niveaux prévus. Dans le même temps, les ingrédients cosmétiques ont affiché dans les régions EAME et Amérique latine des taux de croissance élevés à un ou deux chiffres.
La saveur se développe avec les produits salés et les applications de boissons
Dans le segment des arômes, qui fournit des ingrédients aromatiques pour les aliments et les boissons, les ventes ont augmenté de 2,2 % pour atteindre 322,6 millions d’euros (T1 2019 : 315,6 millions d’euros). Après ajustement des effets de change et après un trimestre très favorable l’année précédente, la croissance organique du segment s’est élevée à 1,6 %.

Dans la région EAME, les taux de croissance les plus élevés ont été enregistrés dans les applications pour les boissons et les produits salés, en particulier sur les marchés nationaux en Allemagne, en Europe de l’Est, au Moyen-Orient et en Afrique du Sud. Les ventes dans les applications pour les sucreries ont été légèrement inférieures à celles du trimestre de l’année précédente.

Dans la région Asie/Pacifique, la croissance des ventes dans le domaine des boissons a été de l’ordre d’un pourcentage élevé à un chiffre et a même atteint des taux de croissance à deux chiffres dans les applications pour les produits salés. Les marchés nationaux de Singapour, d’Indonésie, du Vietnam et du Bangladesh ont connu une évolution particulièrement réjouissante. En revanche, la demande actuellement plus faible en Chine a eu un impact négatif sur le développement régional globalement positif.

En Amérique du Nord, les domaines d’application pour les boissons et les produits sucrés ont été légèrement inférieurs au niveau élevé de l’année précédente. Le secteur des produits salés a connu une croissance solide auprès des clients régionaux et mondiaux.

En Amérique latine, les activités se sont développées de manière très dynamique et ont atteint un pourcentage de croissance élevé à un chiffre pour les produits sucrés. Dans le même temps, les ventes de boissons et de produits salés ont connu une croissance à deux chiffres. La demande de produits d’application pour les boissons a été particulièrement forte sur les marchés nationaux du Brésil

La nutrition avec une forte croissance des aliments pour animaux de compagnie
Dans le segment de la nutrition, qui comprend Diana (applications alimentaires, aliments pour animaux de compagnie et probiotiques) et les activités de
l’ADF/IDF, les ventes ont augmenté de 36,2 % pour atteindre 226,1 millions d’euros (T1 2019 : 165,9 millions d’euros). Le FAD/FID a contribué à hauteur de 52,5 millions d’euros aux ventes totales du segment au cours de la période considérée. Acquis en 2019, le FAD/FID continue de répondre à toutes les attentes. L’intégration est en bonne voie et le groupe continuera à ouvrir de nouvelles opportunités pour stimuler la croissance future du segment. Corrigée des effets du portefeuille et des taux de change, la croissance organique s’est élevée à un très bon 6,1 % au cours de la période considérée.

Confiant pour l’exercice en cours
La demande dans le secteur des aliments pour animaux de compagnie a de nouveau affiché une croissance organique à deux chiffres, très satisfaisante, la croissance dynamique se poursuivant en particulier en Amérique latine et dans la région Asie-Pacifique.

Les ventes dans le domaine des aliments pour animaux ont connu une évolution modérée au premier trimestre. La région Amérique latine a enregistré de bons résultats, surtout sur les marchés nationaux du Chili et du Brésil.

Le secteur des probiotiques a enregistré une croissance organique à deux chiffres. Les régions Amérique du Nord et Asie/Pacifique se sont développées de manière particulièrement dynamique.
Symrise continue d’être pleinement opérationnel dans le monde entier et dispose d’une capacité d’approvisionnement soutenue. Grâce à sa présence mondiale, à son portefeuille élargi et à sa large base de clients, le groupe se considère comme robuste et positionné de manière fiable, même dans cet environnement de marché exigeant. Symrise s’attend à ce que la crise du Covid-19 modifie temporairement le comportement des consommateurs dans certaines parties et entraîne un changement dans le portefeuille. Un grand nombre des produits actuellement les plus demandés répondent à des besoins quotidiens essentiels en matière de nutrition, de soins personnels et d’hygiène.

Après un début d’année solide, Symrise reste confiant pour l’exercice en cours. Bien que le développement et l’impact de Covid-19 soient difficiles à évaluer pour l’instant, le groupe continue de s’attendre à une croissance plus rapide que le marché concerné, soutenue par des compétences très diversifiées, au cours de l’année.
Les objectifs à plus long terme jusqu’à la fin de 2025 restent d’actualité. Symrise vise à augmenter ses ventes de 5,5 à
6 milliards d’euros. La société entend réaliser cette augmentation par une croissance organique annuelle de 5-7 % (TCAC) et des acquisitions ciblées supplémentaires.